Aria T5 (M.Weyland, N.Weyland) – Dupuis – 10,40€
Parution : 05/1997 Depuis que Gore a plongé dans le lac maudit, son corps est recouvert d’écailles. Ancien esclave, il souhaite se servir de cette […]
Parution : 05/1997 Depuis que Gore a plongé dans le lac maudit, son corps est recouvert d’écailles. Ancien esclave, il souhaite se servir de cette […]
Fantax, héros créé par Pierre Mouchot (alias Chott), est né dans la période d’après-guerre pour disparaître suite à des pressions d’associations familiales et catholiques, le […]
Parution : 09/2008
Il y a les blogs BD d’auteurs pas encore publiés. Il y a les blogs BD d’auteurs déjà publiés. Il y aussi les blogs BD d’amateurs qui ne seront jamais publiés. Et maintenant, il y a les blogs BD d’auteurs publiés… mais décédés ! Non, non, ne partez pas, nous ne sommes pas encore devenus tout à fait fous chez Bulle d’Encre. Franquin a donc désormais son propre blog et après avoir sévi quelques temps sur la toile, il sort un album aux éditions Foolstrip. Ne voyez pas ici des histoires de tables tournantes ou de médiums mais l’œuvre de deux auteurs, bien vivants : Piak et Turalo. Ils imaginent le célèbre auteur de Gaston et du Marsupilami décidé à envahir le Web depuis sa tombe, à faire de l’ombre à Hergé et de passer le cap des 100 visiteurs quotidiens.
Blague de mauvais goût ou hommage à Franquin ? Ceux qui n’aimeront pas diront que c’est une plaisanterie d’un goût plus que douteux. Les autres salueront l’hommage. Les puristes s’amuseront même à reconnaître différents détails de l’œuvre du grand André (tel le pyjama digne des tenues nocturnes de Spirou et Fantasio)… ainsi que quelques bloggeurs contemporains qui évoluent dans les pages. A vous maintenant de vous faire votre propre avis entre idée vraiment noire ou clin d’œil respectueux.
Franquin vu sous un autre angle… dommage que ça se lise si vite.
Anthony Roux
Cliquez sur « En savoir plus » pour découvrir les premières pages de l’album
Parution : 08/2008 Les auteurs de Biotope s’attaquent au thème de la seconde guerre mondiale en sortant le premier tome de Commando Colonial, toujours dans […]
Comme je vous l’avais annoncé mercredi soir, des soucis avec la Poste ne nous avait pas permis de disposer de l’original offert par Ian Dairin […]
Parution : 09/2008 Au bord de la ruine alors que son mari est aux Amériques et semble avoir trouvé l’or de Guyanacapac, Lady Hastings souhaite […]
Parution : 08/2008
Franck et Bénédicte, jeune couple lassé de la vie parisienne, découvre au détour d’un chemin de randonnée en forêt de Fontainebleau une vieille ferme abandonnée. L’immense bâtisse en pierre les charme sur l’instant et un vieux panneau « à vendre » les incite à se renseigner sur les lieux. Revenus à leur hôtel, un barman les prévient de la malédiction qui a frappé tous les précédents propriétaires, tous morts dans d’étranges circonstances. Cartésiens, Franck et Bénédicte ne croient pas à ces superstitions et contactent le notaire chargé de la vente. Rapidement, les nouveaux maitres des lieux vont constater que tout n’est peut-être pas du domaine de la légende…
Après le très bon Mortemer dont la fin était un régal pour les amateurs de paranormal, cet album scénarisé par le directeur de collection lui-même est une petite déception. Habitant en bordure de cette forêt magnifique, j’attendais impatiemment cette histoire, mais l’ambiance et le déroulement de l’action semblent bien fades. Le trait du dessinateur italien Alessandro Bocci est lui parfait dans un style réaliste presque documentaire. Mais sans réelle conclusion, ce « banal » récit de maison hantée, même basé sur des faits réels, peine à passionner et intriguer. Le sang qui coule des murs, les bruits dans la cave, les fantômes, ont été tellement de fois exposés sous divers angles qu’ils ne créent plus tellement d’angoisse. On aurait alors aimé l’idée de génie qui prend ce fait divers sous un angle nouveau, mais ça ne vient pas. Dommage.
Pour les lecteurs en recherche de frisson facile.
Arnaud Gueury
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Parution : 07/2008 Et voilà, cela devait bien arriver. Hound s’est fait prendre au piège. Tel est pris qui croyait prendre. Le seul conseil qu’il […]
Parution : 10/2008
Deux mois après le jour du soleil noir et l’assassinat du président William Sheridan, rendez-vous a été pris entre les commanditaires et le tueur à l’identité floue, connu sous le nom de XIII. Un piège a été tendu à l’homme qui doit venir chercher deux millions de dollars sur le Lady Bee, le yacht du frère du président défunt, où Kim Rowland est retenue en otage avec son fils. Le scénario ne se déroule pas comme prévu une fois la Mangouste, un autre tueur professionnel, embarquée sur le navire. Bien décidé lui aussi à tuer XIII après avoir fait un sort à l’équipage, il en vient à évoquer son passé avec la fille du Général Carrington, en attendant sa proie.
Si, dans un premier temps, l’envie est de s’indigner devant cette nouvelle opération éditoriale orchestrée de main de maître par les éditions Dargaud, force est de reconnaître qu’on ne peut que s’enthousiasmer en découvrant le premier tome de cette nouvelle série, reprenant le titre du treizième album de la série best seller du duo Van Hamme/Vance. La charte de la collection XIII Mystery se propose de donner carte blanche à des auteurs pour reprendre quelques seconds rôles de la série originale, Xavier Dorison (Long John Silver) et Ralph Meyer (Berceuse assassine) ouvrant le bal (douze scénaristes et autant de dessinateurs devraient suivre pour atteindre le chiffre magique !) en se penchant sur la Mangouste, dont jusqu’alors on ne connaissait pas la véritable identité. Les amateurs de XIII ayant été habitués grâce à la participation de Jean Giraud sur La Version irlandaise à voir les personnages de la série croqués par un autre dessinateur, la transposition se déroule d’autant mieux. L’intrigue, ne manquant pas par ailleurs d’intérêt, nous amène à découvrir les motivations du tueur indépendant de la conspiration des XX, les origines de son surnom, tout en nous réexposant sous un angle différents des scènes devenus classiques aux amateurs !
Bref, encore un succès pour l’inépuisable Jean Van Hamme, et un défi dignement relevé par la jeune génération !
Ludovic Grignion
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