Parution : 10/2017
Résumé
Amantes, Carrie et Izzy n’ont d’autre choix que de se marier pour consolider l’alliance entre leurs familles et ne pas succomber à la pression exercée par les autres maisons vampiriques. Dans l’ombre, Satyres et loups-garous attendent également leurs faux pas.
Notre avis
Les 76 pages de bonus nous éclairent grandement sur la série et son éditeur outre-Atlantique.
Boundless est un label d’Avatar Press, éditeur de comics adulte tel que « Lady Death » ou bien « Belladonna » (édité également à partir de ce mois-ci, chez Tabou, après « Hellina » qui est cité dans la BD). Pour répondre à la demande de collectionneurs, leurs couvertures sont déclinées jusqu’à atteindre la catégorie « nude » interdite d’affichage. Un parti pris également dans les planches de leurs séries où gore, érotisme et pornographie, bien présents, desservent souvent l’intrigue fantastique qui n’en a pas vraiment besoin pour être intéressante.
Ce recueil rassemble les 4 premiers épisodes de « Ravening – les voraces ». C’est le surnom donné aux vampires de l’univers imaginé par Jay Nitz. Ce dernier passe très vite le relais à William A. Christensens (Crossed) et Mark Seifert (Pandora), deux artistes maison dont la collaboration est entérinée depuis longtemps. Il y a de la matière, mais l’ensemble est vraiment mal mis en valeur.
Les styles graphiques différents des dessinateurs qui se succèdent (Jack Jadson, Rick Lyon) n’arrangent pas les choses. On aimerait s’enthousiasmer véritablement, mais le résultat est en deçà de nos attentes. Malgré tout, Les éditons Tabou assurent un album soigné et assurent la cohérence de leur politique éditoriale qui compte d’autres séries de la même licence.
En deux mots
Une première incursion dans la licence Boundless d’Avatar Press un peu décevante. .
Ludovic Grignion
Lien vers la page Tabou Editions de : Ravening T1- Les voraces
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