Parution : 11/2014
Résumé
La seule manière d’obtenir le document ayant permis de créer le papercut de Black Howl se trouve dans le Monde à l’Envers de Lewis Carrol. Seuls, Jules, Artur et Amélia ne pourront pas y parvenir. Mais c’est bien la seule façon de sauver une fois pour toute Pierre Verne de son imminente exécution. Le temps passe et nos héros sont face au mur. Ils vont se retourner vers le talentueux Nikola Tesla. Jules Verne et ses amis auront-ils le temps d’accomplir leur mission jusqu’au bout ?
Notre avis
Si l’on s’attendait à la clôture de ce second cycle, les auteurs de City Hall auront clairement imaginé un projet plus imposant, ce qui n’est pas pour nous déplaire. Ce tome 6 se pose ainsi comme un autre intermédiaire de cette course contre la montre visant à sauver le père de Jules Verne. Outre une intrigue avec Nikola Tesla et un flashback plutôt bienvenue pour Amélia Earhart lui offrant un peu plus de profondeur, on assiste à une présence plus massive de l’inquiétant et aliéné Howard Phillips Lovecraft et sa mission pour les Etats-Unis. Si ce tome offre assez peu de réponses, un pas est réalisé, et ce, par le biais de la création d’un mix qui ravira les geeks : le Nautilus de 20 000 Lieux sous les mers et un clin d’œil au mythe de Chtulhu de Lovecraft.
En deux mots
Le Nautilus, l’aide de l’illustre Nikola Tesla et la folie de H.P. Lovecraft… nos amis ont encore du pain sur la planche.
Gaël Barzin
Lien vers la page des éditions Ankama de l’album : City Hall T6
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