Résumé
Survivant fortuit de l’expédition d’Ona(Ji) parti à la recherche d’Aâma, Verloc Nim touche au but. Depuis quelques temps déjà, la proximité grandissante avec Aâma provoque des modifications du réel, les limites de la matières sont de plus en plus floues. L’esprit de Verloc atteint ses limites quand la projection de sa fille Lilja – qui le guide dans cette quête – lui permet de communier avec Aâma. Lui, le marginal, le faible, devient alors le détenteur de toute chose. Il est le porteur d’Aâma et résiste à sa puissance tant qu’il le peut. Mais, rompu a un destin au milieu duquel il aura toujours été ballotté, Verloc devra continuer la quête qu’Aâma a dessinée pour lui. Sa fille, Lilja, qui vit sur terre dans un mutisme opaque, est l’objet de toute l’attention d’Aâma qui la considère comme l’embryon d’un monde nouveau.
Notre avis
Dernier tome de cette série, récompensée au festival d’Angoulême et au Quai des Bulles en 2013, que Frederik Peeters conclut avec maestria. Cet acte final, mené tambour battant par Aâma, provoque des situations d’une puissance visuelle et narrative exceptionnelle. L’auteur referme les tiroirs les uns après les autres: Woland et la Muy tang, Verloc et Silice, Roosevelt, Parjapath et enfin Lilja. Un point final magistral à une série menée en quatre tomes et qui lui donne ce rythme de lecture aussi soutenu. Une vrai défi au regard du propos et de la manière que Frederik Peeters a relevé.
En deux mots
Un point final de qualité dont on ne sait pas s’il est d’exclamation ou d’interrogation. Mais qui ne laissera aucun lecteur indifférent.
Alain Lamourette
Lien vers la page Gallimard de Aâma T4 – Tu seras merveilleuse, ma fille
Coudonc, mon Guy e7a s’rait extraordinaire de poouivr acheter ton album tu-suite e0 la librairie Pantoute, Rue St-Joseph. Tu sais d’of9 je parle, mon grand. Je trouve tes albums extraordinaires, t’es vraiment talentueux. Faut que tu disses plus souvent que t’es que9be9cois. Les que9becois ont besoin de se rendent compte qu’ils ne sont pas ne9s pour un petit pain, comme toi.Merci de me procurer plusieurs heures de plaisir.Pedro Carbajal