Début de diffusion : octobre 2015
25 épisodes prévus, 7 épisodes diffusés au moment de la rédaction de la chronique
Disponible sur 
300 ans après un conflit sanguinaire ayant opposé la Terre et Mars (appelé « Guerre des Calamités »), les deux planètes entretiennent toujours des relations compliquées. Une jeune aristocrate de la ville martienne de Chryse, Kudelia, décide d’aller sur Terre pour plaider afin d’obtenir l’indépendance de sa ville, actuellement contrôlée par le Gouvernement terrestre. Escortée par la CGS (Chryse Guard Security), elle ne tarde pas à se faire attaquer par un groupe de défense terrestre extrémiste, Gjallarrhorn. Mikazuki, un des membres du CGS, n’a pas d’autre choix pour riposter que de faire appel au Gundam Barbatos, une vieille armure mobile datant d’avant la fameuse guerre et dont l’utilisation a été bannie depuis…
Notre avis
Rendu graphique de grande qualité grâce à l’expérience cumulée de Sunrise en la matière (qui a, mine de rien, lancé le premier opus de Gundam en 1979), ce nouveau Gundam était forcément très attendu par les fans de cette licence, qui est considérée comme une des références du genre mecha. L’animation des mecha est donc au top niveau, avec des effets de lumière impeccable et des combats très chorégraphies. Niveau scénario, il est à la hauteur de l’animation, avec un background intéressant, qui s’inscrit parfaitement dans l’univers Gundam. Le thème est ici l’indépendance et la résistance contre la dictature Terrestre. La distribution des personnages ne manque pas de panache:
- Kudelia, aristocrate idéaliste, mais profondément motivée pour défendre ses convictions
- Orga, stratège affuté avec grand respect pour ses pairs
- Mikazuki, pilote chevronné hors pair,
- Biscuit, l’analyste loyal au grand coeur
Cette série est donc très prometteuse et nous ne vous en dévoilerons pas plus pour éviter tout spoil. En résumé, un opus à la hauteur de nos espérances.
Lien vers la fiche de la série sur :
En deux mots
« L’essence de la vie est sur le champ de bataille » (いのちの糧は、戦場にある。, Inochi no kate wa, senjō ni aru).
Julien Jaccone
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